« Par ignorance, jeunesse est volontiers goguenarde. Se moquant des vieillards et de leur sagesse, elle n’essaie pas de raisonner, ou plutôt croit qu’un éclat de rire vaut un raisonnement » (Batouala) 

« En tout cas, que l’on soit de son avis ou non, il croyait dur comme fer et n’en démordait pas, jusqu’à preuve du contraire, que ne rien faire, c’était profiter, en toute bonhomie et simplicité, de tout ce qui nous entoure » (Batouala)

« Les traditions valent ce qu’elles valent. Certaines sont infiniment désagréables. D’autres sont tout le contraire » (Batouala)

« Savoir rire pour cacher à tous que l’on souffre. L’un des secrets du bonheur est là » (lettre à Charles Barailley 7 octobre 1919)

« Faute d’argent est douleur non pareille, a reconnu, je ne sais plus où, ce bon Claude Marot. C’est la vérité élémentaire. On ne peut y remédier que par le travail » (lettre adressée à Barailley 4 octobre 1936)